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Une journée en prépa MPSI / PSI

Prépa MPSI

Afin d’en savoir plus sur les différentes formations proposées par l’ISEN Méditerranée, nous vous proposons de découvrir en vidéo et en moins de 2 minutes le quotidien de nos étudiants. Cette série de « vis ma vie » débute avec Thibault, étudiant varois en deuxième année de prépa MPSI / PSI.

Bonjour Thibault, peux-tu nous parler de  ton parcours en prépa MPSI / PSI ?

Je suis élève en deuxième année de prépa PSI à l’ISEN. Mon parcours, un collège comme tout le monde, un lycée comme tout le monde, spécialité maths physique. On appelle ça la voie royale et ce n’est pas pour rien, c’est que ça facilite le travail par la suite.

Les étapes pour se faire admettre à l’ISEN : très simple, sur Parcoursup comme toutes les écoles. Il faut commencer par se renseigner sur les dates des journées portes ouvertes, c’est important, ça permet de s’immerger dans le lieu, de se projeter. 

Quels conseils donnerais-tu aux futurs étudiants ?

Je pense qu’il est bien de commencer à se familiariser avec les matières. On n’a pas beaucoup de matières mais on a beaucoup d’heures de ces matières. La matière avec le plus d’heures, ce sera les mathématiques, en deuxième la physique et ensuite les sciences de l’ingénieur. En plus de ça il y a le français et l’anglais.

On a souvent une vision laborieuse de la prépa, quelles sont les difficultés que tu as pu rencontrer ?

On a des semaines bien remplies, bien chargées, c’est un marathon dans lequel il faut sprinter du début à la fin. Le plus important c’est de garder un rythme, de garder la motivation. Ce n’est pas une mauvaise note qui va définir votre méthode de travail et va définir si vous passerez ou pas au concours. Une note c’est là pour vous aider à travailler et vous motiver.

Est-ce que tu as une méthode particulière de travail ?

En prépa ce que je conseille c’est de très vite apprendre à être rigoureux, toutes les semaines il faut essayer de varier ce qu’on travaille, on se fait un planning, on se dit tel jour je bosse ça, tel jour je bosse ça, à adapter en fonction de ce qu’on appelle les khôlles, parce que oui en prépa on a des khôlles : des évaluations orales. Ça m’a fait acquérir une nouvelle méthode de travail, qui à la fin donne des résultats satisfaisants.

Un dernier mot ?

Les gens sont bienveillants, les professeurs vont toujours rester à l’écoute, ils vont être là si on a besoin d’aide. Si je reste à l’ISEN pour mon cycle ingénieur j’irai sur une spécialisation dans la robotique. Sincèrement, le cadre fait beaucoup, je suis un amoureux de la région, le matin je peux même aller en cours en bateau !

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