Théotime, quel est votre profil ?
Natif de La-Seyne-sur-Mer, j’ai emménagé très jeune en région parisienne où j’ai effectué la grande majorité de ma scolarité. Passionné par les enjeux sociétaux et économiques depuis le lycée, j’ai opté pour un parcours universitaire en étudiant l’économie internationale à l’Université Paris IX Dauphine. Par la suite, mon engagement personnel en faveur de l’environnement m’a conduit à me spécialiser en économie de l’énergie, afin d’être armé pour répondre aux grandes thématiques de la transition énergétique.

Comment êtes-vous devenu enseignant-chercheur en énergies renouvelables ?
C’est au cours de mon Master 2 en Energie, Finance, Carbone que j’ai découvert les méthodes de recherche et la modélisation des systèmes énergétiques. J’ai donc décidé de poursuivre dans cette voie en effectuant mon stage de fin d’études au sein de la Chaire Economie du Climat à Paris. De là, j’ai décidé d’approfondir le thème de la flexibilité des systèmes électriques en démarrant une thèse de doctorat à l’Université de Montpellier. Après trois ans passés à travailler sur ce sujet, c’est en toute logique que j’entame un nouveau chapitre professionnel en rejoignant l’ISEN en tant qu’enseignant chercheur en Smart Energy.

Comment voyez-vous le domaine des Smart Energy à l’ISEN ?
En intégrant l’ISEN, j’espère pouvoir à la fois transmettre mon expertise sur les sujets liés à l’électrification et à l’intégration des renouvelables dans les systèmes énergétiques, et continuer à développer mes compétences, notamment en participant au projet InterConnect, mais aussi en étant au contact des étudiants au quotidien.